vendredi 19 février 2016

Par rapport à des architectures informatique classiques, le recours au cloud et au SaaS est loin de déboucher systématiquement sur des économies.

Dans son dernier Outsourcing Index, ISG a fait état pour l’année 2015 d’un recul de 12% du marché mondial de l’externalisation informatique (ITO) qui a chuté à 13,7 milliards de dollars.


Pour vous aider dans cette tâche, 10 questions permettent d’identifier d’éventuels coûts câchés.


  1. L’entreprise a-t-elle bien identifié les besoins informatiques qu’elles souhaitent déplacer vers le Cloud afin de comparer les solutions possibles de manière objective?

  2. Est-il possible de transférer les licences existantes hébergées en local chez un concurrent opérant dans le Cloud?

  3. Quels sont les coûts par utilisateur et par mois pour un service comparable à celui du logiciel sous licence?

  4. Ces coûts englobent-ils un helpdesk humain aisément joignable et une intervention rapide en cas d’interruption de service?

  5. Le niveau de service attendu est-il clairement défini au sein même de la page Web contractuelle?

  6. L’entreprise dispose-t-elle de l’infrastructure, notamment de la bande passante, nécessaire à la pleine jouissance du service?

  7. Une mise à niveau des compétences du personnel est-elle nécessaire pour bien utiliser les fonctionnalités du nouvel environnement?

  8. Est-il possible de sortir du contrat de maintenance les applications qui migrent vers le Cloud de sorte à diminuer les coûts globaux de maintenance pour les licences d’applications qui restent hébergées en local?

  9. En interne, êtes-vous capable de gérer et de mesurer les performances d’applications sous licence hébergées en local mais également d’applications hébergées dans le Cloud?

  10. Si une première expérience de migration d’applications vers le Cloud s’avère non concluante, combien cela va-t-il coûter de revenir à l’applicaiton initiale sous licence hébergée en local?

Ces 10 questions constituent en quelque sorte la feuille de route à l’intention des dirigeants d’entreprises pour une bonne utilisation des services Cloud.


Sources: http://www.awt.be/


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Par rapport à des architectures informatique classiques, le recours au cloud et au SaaS est loin de déboucher systématiquement sur des économies.

jeudi 28 janvier 2016

UBL 2.1 est désormais un standard ISO officiel, c"est important pour votre e-business...

Le 15 décembre 2015, l’ ISO/IEC 19845:2015 Universal Business Language Version 2.1 (UBL 2.1) officiel a été publié, faisant du langage UBL un standard ISO international officiel.

Cela signifie que la documentation standard au format XML est reconnue à l’échelle internationale et sera plus facilement disponible pour les entreprises et les intégrateurs systèmes du monde entier.



Pourquoi est-ce important ?


La standardisation du commerce électronique grâce au langage UBL a déjà réduit les coûts de main d’œuvre d’innombrables sociétés et organisations.


Le Danemark, qui est le premier à l’adopter, économise 100 millions d’euros en coûts de main d’œuvre chaque année grâce à la simplification permise par l’adoption du langage UBL. Parce que le comité  à l’origine du langage UBL avait une vision de l’adoption précoce, le langage UBL renferme en lui une croissance exponentielle.


Plus les entreprises qui adoptent le langage UBL comme standard de communication seront nombreuses, plus cela incitera d’autres entreprises à adopter ce langage. Puisque les barrières à l’adoption sont considérablement moins élevées que d’autres standards en raison de sa nature ouverte et libre, la croissance continue du langage UBL est assurée.


L’intégration et la communication B2B sont un besoin croissant pour toutes les entreprises modernes.


Alors que les données deviennent de plus en plus numériques, le besoin de communiquer ces données de manière électronique devient encore plus fondamental. Les entreprises et les organisations se sont efforcées de créer des langages de communication standards au fil des années, avec des standards tels qu’ANSI X12 et EDIFACT.


Le langage UBL est la prochaine étape dans la standardisation, offrant une approche épurée de la communication professionnelle.





UBL 2.1 est désormais un standard ISO officiel, c"est important pour votre e-business...

mercredi 20 janvier 2016

L"impératif numérique ; pourquoi la transformation de l"entreprise est-elle essentielle ?

Deux thèmes conditionneront les entreprises dans les cinq à dix prochaines années : la transformation numérique et les nouveaux modes de travail. Devenir une entreprise digitale signifie adopter les nouvelles façons de travailler et mettre le client au cœur de votre activité. Les entreprises, mais aussi les individus, auront besoin de s’adapter pour réussir dans une économie numérique.


Chaque fonction dans le monde actuel des entreprises (PDG, Directeur financier, Directeur des opérations, DSI) est renforcée par plus de technologie moderne. Les leaders à la barre des entreprises qui réussiront dans les dix prochaines années seront ceux qui sont inspirés par ce que permet la transformation digitale et qui débutent cette aventure dès aujourd’hui.


lire la suite sur: LMI



L"impératif numérique ; pourquoi la transformation de l"entreprise est-elle essentielle ?

mardi 5 janvier 2016

Le Moniteur de ce jeudi a publié une loi qui modifie le Code TVA. Elle introduit trois changements très favorables aux entrepreneurs.

Tout d’abord, à partir du 1er janvier 2016, pour les transactions nationales, c’est la date de facturation qui détermine le moment où la TVA est due (elle doit être payée avant le quinze du mois suivant). On ne tient plus compte du moment où le bien est livré, ou du moment où le service est rendu. On ne tient plus compte du moment où le versement est effectif. C’est uniquement la date d’émission de la facture qui est déterminante. Seule exception : si un acompte est versé avant la facturation, la TVA sur ce montant doit être réglée au moment de l’encaissement de l’acompte.


La deuxième nouveauté concerne les entreprises qui travaillent pour un pouvoir public. Actuellement, la TVA est due dès que le contrat a été approuvé par l’autorité publique. A partir du 1er  janvier 2016, la TVA ne sera exigible qu’à partir du moment où les entreprises auront effectivement reçu le paiement (ou une partie de celui-ci). Cette mesure met fin à la pratique anormale du préfinancement de la TVA par les entreprises.


Enfin, au 1er janvier 2016, le seuil de la franchise TVA passera de 15.000 € à 25.000 €. Cela signifie que les assujettis à la TVA dont le chiffre d’affaires annuel (hors TVA) ne dépasse pas 25.000 €, pourront opter pour le régime de franchise. En pratique, l’entreprise ne doit pas porter en compte la TVA auprès de ses clients et la reverser au Trésor. Elle ne peut évidemment pas non plus « récupérer » la TVA payée en amont à ses fournisseurs. La franchise n’est pas toujours intéressante mais, dans certains cas, elle permet de démarrer ou d’entretenir une activité restreinte avec une charge administrative en moins.


Sources: UCM



Le Moniteur de ce jeudi a publié une loi qui modifie le Code TVA. Elle introduit trois changements très favorables aux entrepreneurs.

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